Jarok Quileute
Nombre de messages : 206 Date d'inscription : 18/12/2011
| Sujet: L'Apprenti Sorcier. Dim 22 Jan - 17:23 | |
| Réalisé par : Jon Turteltaub. Avec : Nicolas Cage, Jay Baruchel, Teresa Palmer, Alfred Molina,... Titre original : The Sorcerer's Apprentice. Long-métrage américain . Genre : Fantastique. Durée : 01h45min Année de production : 2010. Date de sortie cinéma : 11 août 2010. Distributeur : Walt Disney Studios Motion Pictures France. Pour tout public.Synopsis :Disciple du légendaire Merlin, le sorcier Balthazar Blake, a traversé les siècles en recherchant le magicien prodige qui, selon la prophétie, aura le pouvoir d’anéantir la sorcière maléfique Morgane, enfermée pour le moment dans une poupée gigogne. C’est dans une boutique d’antiquités de New York, en 2000, qu’il va faire sa connaissance. L’élu, Dave Stutler, est un collégien de dix ans. A cause d’une maladresse de l’enfant, la rencontre tourne à la catastrophe, et Balthazar se retrouve piégé dans un vase. Lorsque le sorcier parvient à se libérer, une décennie plus tard, Dave est devenu un nerd, doué en physique, mais très maladroit pour le reste. Et pire que tout, il ne se sent aucune prédisposition pour être le sauveur du monde… | |
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Jarok Quileute
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| Sujet: Re: L'Apprenti Sorcier. Lun 23 Jan - 11:11 | |
| Un bon divertissement qui se laisse regarder sans se creuser les méninges. Des effets spéciaux en cascade, des situations cocasses, des trouvailles comme le grimoire de la taille d’un timbre poste qui en se dépliant devient aussi gros et lourd qu’une valise…, et un gros clin d’œil à Fantasia avec l’extrait de la révolte des balais, c’était quasiment une obligation. Un Nicolas Cage, bon mais peut-être un peu trop sérieux et un Jay Baruchel qui colle si parfaitement au personnage de l’empoté maladroit fort en physique, qu’on se demande s’il ne joue pas son personnage de la ville (la voix de la doublure française est nettement mieux que celle de l’acteur qui est criarde et enfantine) Alfred Molina joue le méchant dans le personnage de Maxim Horvath, si imbu de lui-même qu’il arrive à me faire penser à un chef cuistot de la région lyonnaise pour peu qu’on lui mette une toque.
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