Fascination/Twilight

Bella, seize ans, décide de quitter l'Arizona ensoleillé où elle vivait avec sa mère, délurée et amoureuse, pour s'installer chez son père, affectueux mais solitaire. Elle croit renoncer à tout ce qu'elle aime, certaine qu'elle ne s'habituera jamais ni à la pluie ni à Forks où l'anonymat est interdit. Mais elle rencontre Edward, lycéen de son âge, d'une beauté inquiétante. Quels mystères et quels dangers cache cet être insaisissable, aux humeurs si changeantes? A la fois attirant et hors d'atteinte, au regard tantôt noir et terrifiants comme l'enfer, tantôt doré et chaud comme le miel, Edward Cullen n'est pas humain. Il est plus que ça. Bella en est certaine.

Admin a écrit:

Bella, seize ans...

Excuse-moi, mais elle n'avait pas dix-sept ans quand elle est allée à Forks?
En tous cas, ce livre était un de plus écrasantes! je l'ai lu depuis avoir vu le film, donc je connaissais déjà un peu l'histoire.. ^^
Mais pas bien comme après l'avoir lu, ça est évident.. xD j'ai appris beaucoup de details et d'informations très utiles pour mieux comprendre les autres romans de la saga! ^^
Je l'adore.. J'ai aussi des frases avec des images dans mon portable et sur mon pc, parce que j'en suis amoureuse!
Et, Edward, il est trop attrayant et sarastique! Il est simplement super..

C’est difficile de passer sous silence un auteur qui a vendu une centaine de millions de livres. Stephenie Meyer n’a pas inventé cette catégorie littéraire mais a à coup sûr redonné une impulsion au genre à la manière d’une vague déferlante. On aime ou on n’aime pas et ergoter de la qualité littéraire de l’auteur n'apporte rien. Je le dis souvent aux détracteurs de Stephenie Meyer, qu’elle, elle a été publiée et qu’attendez-vous pour vous faire éditer, ce n’est pas si simple ?

Pour Twilight j’ai les 4 tomes plus les 4 livres audio et les 3 DVD. Ce qui m’a surtout plu, c’est la nouvelle approche que faisait Stephenie Meyer du monde des vampires, loin d’un Bram Stoker ou d’un Paul Féval, certes très fleur bleue ce qui lui ôte ce côté sombre qu’avaient les romans du 19e siècle des auteurs précités.

On est plus près des préoccupations des midinettes côtés fanfreluches et colifichets, et des angoisses des minets qui se demandent comment aborder les filles en ayant les yeux ciliés de « miel » pour ne pas voir que les filles n’attendent qu’une choses, que ces nigauds de garçons se décident à faire le premier pas. Tout est calibré et prévisible, même la relation Edward/Bella si ce n’est que pour eux deux l’approche commence sous un rapport d’antagonisme qui ne réussit pas à gommer le format prédéfini de la parfaite relation amoureuse. Tout au plus Stephenie Meyer fait entrer un troisième comparse en la personne de Jacob pour donner un peu plus de piment à l’histoire.